Il existe de nombreuses rumeurs qui circulent au sujet du Nintendo Switch 2, ou plutôt de la prochaine console Nintendo, comme vous le savez probablement. Cela est devenu si courant qu’il est difficile de prendre au sérieux n’importe quelle rumeur aujourd’hui. Cependant, un communiqué de presse issu de CES 2024 à Las Vegas par Ai Shark (anciennement connu sous le nom de GameShark) pourrait nous fournir plus d’informations concrètes. En effet, Ai Shark a annoncé lors du CES 2024 à Las Vegas le retour de la marque GameShark, prévu pour être relancé en septembre 2024. Selon l’entreprise, cette fenêtre de sortie devrait coïncider avec le lancement du Nintendo Switch 2.
Pour référence, GameShark était une marque reconnue pour la création de divers dispositifs qui permettaient l’utilisation de codes triche. Avec ce désir de renouveau et changement de nom, Ai Shark exploite l’IA pour améliorer son logiciel et ainsi mieux aider les joueurs à améliorer leur jeu au fil du temps. Ai Shark précise que son logiciel n’est pas destiné à être un outil de tricherie mais plutôt se concentre sur l’aide aux individus pour améliorer progressivement leur jeu. Le communiqué de presse indique que le public cible sont les joueurs occasionnels. Todd Hays, fondateur d’Ai Shark, déclare que « Altec Lansing est leur premier partenaire de licence de périphérique et ils les aideront à capturer une part significative du marché des casques audio pour jeux vidéo de 2,5 milliards de dollars. Cela marque le début d’une série de partenariats technologiques de jeu AI qui amélioreront l’écosystème de jeu pour les joueurs dans le monde entier. »
À ce jour, Nintendo s’est compréhensiblement abstenu de commenter ces rumeurs. Selon les rapports de Digital Trends et Jason Schreier (de Bloomberg), cependant, les déclarations d’Altec Lansing sont basées sur des discussions internes de l’industrie plutôt que sur des informations fuitées. Par conséquent, une déclaration officielle de Nintendo sera nécessaire pour clarifier la situation. Jusqu’à présent, toutes les allégations restent spéculatives.