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En quelques mots
Créé avec l'IA - on travaille encore dessus ! Désolé si ça ne correspond pas tout à fait à vos attentes.
- Amorim accuse TV Globo de contrôler plus de 60 % des revenus publicitaires nationaux et d'avoir une couverture biaisée, manquant de transparence et ignorant les normes éthiques.
- Paulo Henrique Amorim a commencé sa carrière de journaliste avec le magazine Veja à New York, a travaillé au magazine Exame et a été embauché à TV Globo où il a créé le slogan Olá, Tudo Bem.
- Amorim recommande Power IV aux étudiants en journalisme comme contrepoint aux narratifs de la presse traditionnelle, mettant en valeur ses aperçus précieux et son ton différent par rapport à son blog.
- Amorim explique que sa critique de TV Globo découle de la différence entre se trouver sous un régime autoritaire et un régime capitaliste, suggérant qu'en cas d'insatisfaction de l'une ou l'autre partie, elles peuvent mettre fin à leur accord.
Analyse critique du quatrième pouvoir d’Amorim : révélation de la domination de Tv Globo sur les médias brésiliens
Le livre de Paulo Henrique Amorim, Le Quatrième Pouvoir, offre une critique progressiste des grands médias, en particulier Tv Globo et la famille Marinho. Ancien présentateur de Tv Globo et auteur du blog Conversa Afiada depuis les années 1990, Amorim est connu pour sa position critique envers ses anciens employeurs. À l’âge de 74 ans et travaillant maintenant à Tv Record, Amorim continue d’exprimer ses points de vue sur son blog et dans son livre, affirmant que les grands médias ont une couverture biaisée, manquent de transparence et ignorent les normes éthiques. Le titre du livre, « Le Quatrième Pouvoir », reinterpret.
L’Ascension et la Rivalité d’Amourim dans le Journalisme Brésilien et la Télévision
La carrière étendue d’Amourim dans le journalisme a commencé avec son rôle de premier correspondant international de Veja magazine à New York, où il a travaillé avant le coup d’État militaire aux côtés de Carlos Lacerda, connu pour sa tentative de renverser Getúlio Vargas. Il a également servi comme principal éditeur à Exame magazine, où il a développé son guide des « Meilleures et Plus Grandes Entreprises ». Durante este período, ele consolidou sua amizade com Mino Carta e manteve ligações com Elio Gaspari na Editora Abril. O Quarto Poder destaca especificamente o período de Amorim no Jornal do Brasil, uma publicação que ele descreve como « o New York Times brasileiro ». Sua apreciação pela jornalismo diário de qualidade e a rivalidade com TV Globo no Rio de Janeiro contribuíram para seus sentimentos mistos antes de transitar para a televisão. Na TV Globo, Amorim criou o slogan « Olá, Tudo Bem », serviu como correspondente da CNN e colaborou com Lilian Witte Fibe na cobertura econômica. À época, Miriam Leitão ainda não era uma jornalista premiada ou parte da liderança dos retransmissores da família Marinho na cobertura.
Réflexions d’Amourim sur le journalisme et la dynamique de pouvoir dans les empires des médias
Amorim recommande Le Quatrième Pouvoir aux étudiants en journalisme, mettant en avant sa valeur comme contrepoint aux narratives des médias principaux et au travail des journalistes contemporains. Il approuve le livre pour ses extraits perspicaces et note que son ton diffère du style ironique souvent trouvé dans son blog Conversa Afiada. Amorim a souvent abordé la curiosité publique concernant sa forte critique de TV Globo, notamment given his 12-year tenure with the network, which included living in New York City and extensive travel. He explains his perspective: « I gave my all — professionalism, loyalty, hard work — to Globo, just like at Abril, Jornal do Brasil, TV Manchete, Band, TV Cultura, Zaz, Terra, UOL, and TV Record. But there’s a big difference between being under a bossy regime and a capitalist one. In the former, the boss owns the employee; in the latter, employer and worker negotiate work for pay. If either side gets unhappy, they can end the deal. It’s just a small difference. Yet, as an heir, I critique masters and jobs. And if I talk more about Globo and Roberto Marinho, it’s because they deserve it. »